Association Nymphéas loi 1901

L'Atlantide, coeur englouti entre deux mondes


L'ATLANTIDE

L'Atlantide

... coeur englouti entre deux mondes

« Non seulement on ne peut douter de l'existence passée de l'Atlantide, mais il est

indiscutable qu'elle existe encore, destinée à s'agrandir dans ce croisement de lumière qui

est le sans-temps, un ensemble du passé-présent-futur qui représente la seule façon de

concevoir l'être tant dans le macrocosme que dans le microcosme. »

 

 

 

 

Introduction

L'Atlantide est une île légendaire qui aurait été engloutie par un cataclysme en un jour et une nuit. Les hommes de l'antiquité la situaient dans l'Océan Atlantique en face des Colonnes d'Hercule (actuel Gibraltar). Cette civilisation supposée riche, puissante et très civilisée, apparaît au IV ème siècle avant notre ère dans deux dialogues de Platon : le Timée et le Critias. Au-delà de l'allégorie destinée à étayer les propos du philosophe vantant la grandeur de l'Empire athénien ce mythe a fait couler beaucoup d'encre. Nombreux furent ceux qui le reprirent à leur compte ou qui tentèrent de le relier à tout type de création.

Aujourd'hui, ce sont en effet plus de 25000 ouvrages qui ont été recensés au sujet de l'Atlantide.

Platon fut le premier voilà plus de 2000 ans à esquisser l'image de cette cité idéale et son utopie passa à la postérité réactivant les éternelles polémiques entre mythe et réalité, entre projections des hommes et cristallisations d'imaginaires. Remettre en doute les vieilles croyances pourrait provoquer un véritable bouleversement des consciences. Pourtant, croire en l'impossible pourrait-être la nouvelle gageure du siècle à venir. Les mythes réactualisent les possibilités de changement. Nous avons presque tous tendance à nous contenter de la pensée stérilisante de l'impossible. Or, à travers le mythe de l'Atlantide, ce fameux impossible auquel nul n'est pourtant tenu, semble vouloir ouvrir tant de nouveaux possibles.

Tout pourrait bien être inscrit déjà en l'homme depuis la nuit des temps et parfois c'est un peu comme s'il suffisait d'y croire, comme s'il suffisait de croire pour trouver2

Ce dossier ne prétend pas résoudre quoi que ce soit, il présente juste une réflexion non exhaustive sur le sujet qui permettra à chacun d'entrevoir à travers le kaléidoscope de son âme quelques pistes et de construire quelques autres ponts ….

Maintenant c'est à chacun de se faire une opinion sur la question : l'Atlantide paradis perdu phagocyté par le mythe ? L'Atlantide source de mémoires englouties, lieu de toutes nos projections et de tous nos délires … ?

En tout état de cause cette cité perdue présente une bien problématique amnésie.. Et pourtant le mythe n'a-t-il pas ceci de puissant qu'il inscrit en chaque regard posé sur lui un souffle divin…?

 

I. Visions et trajectoires vers l'universalité du mythe

A. Vision Platonicienne ou la naissance d'un mythe phagocyté

« Celui qui l'a crée, l'a détruite »3

Platon est le premier à avoir évoqué l'Atlantide dans ses dialogues le Timée et le Critias il y a maintenant plus de vingt-quatre siècles. Apparemment, aucune source antérieure à Platon n'a à ma connaissance explicitement parlé d'une île nommée Atlantide auparavant.

Le Timée s'ouvre sur un dialogue entre quatre personnages : Timée ; Hermocrate, Critias et Socrate. Platon évoque l'Atlantide comme « une sortie de mer » se situant au-delà des Colonnes d'Hercule (Gibraltar). Il mentionne l'histoire des rois Atlantes, puissants monarques avides de pouvoir qui s'emparèrent des rives de la méditerranée de la Lybie et de l'Egypte, atteignant même en Europe la Tyrrhénie (Italie). Toutefois, les Athéniens les repoussèrent et peu à peu après maints tremblements de terre et cataclysmes l'Atlantide fut engloutie :

« (…) dans le temps qui suivit, il se fit des tremblements de terre violents et des cataclysmes ; dans l'espace d'un jour et d'une nuit funestes qui survinrent (…) le peuple entier, en masse, s'enfonça sous la terre, et pareillement l'île Atlantide s'enfonça sous la mer et disparut. De là vient que, de nos jours encore, là bas, la mer est impraticable et inexplorable, encombrée par les bas- fonds de vase que l'île a déposée en s'abîmant. »

Le Codex Cortesianus, ancien livre Maya conservé au musée national de Madrid relate la disparition du continent alors situé dans le pacifique. Il est frappant de constater à quel point les descriptions platoniciennes et celles du codex coïncident :

« Par son bras puissant Homen causa un tremblement de terre qui eut lieu au coucher de soleil et pendant la nuit, Mû, le pays des collines de terres, fut submergé…A deux reprise Mû sauta de ses fondations ; il fut alors sacrifié par le feu. Il explosa secoué violemment de haut en bas par des tremblements de terre. »

Le document Lhassa découvert dans un temple bouddhique du Tibet pourrait bien nous préciser l'interprétation de ce codex maya : « Quand l'étoile de Bal tomba sur le lieu qui n'est maintenant que ciel et mer, les sept villes avec leurs portes d'or et leurs temples transparents frémirent et furent secouées comme des feuilles dans la tempête ; et un déluge de feu et de fumée s'éleva des palais…la terre ( Mû) et tous ces habitants furent mis en pièces et engloutis dans les flots. »

Ces deux descriptions pour le moins surprenantes ne sont pas sans nous rappeler les descriptions faites par Platon. L'Atlantide métaphoriquement embrasée puis submergée par les flots : deux allusions renvoyant peut-être symboliquement à la purification imposée par la nature pour venir laver la folie humaine. Effacer tout pour reprendre et reconstruire un autre cycle telle est l'image eschatologique présentée par Platon : "Aussi tout ce qui s'est fait de beau, de grand ou de remarquable sous tout autre rapport, soit chez vous, soit ici, soit dans tout autre pays dont nous ayons entendu parler, tout cela se trouve ici consigné par écrit dans nos temples depuis un temps immémorial et s'est ainsi conservé. Chez vous, au contraire, et chez les autres peuples, à peine êtes-vous pourvus de l'écriture et de tout ce qui est nécessaire aux cités que de nouveau, après l'intervalle de temps ordinaire, des torrents d'eau du ciel fondent sur vous comme une maladie et ne laissent survivre de vous que les illettrés et les ignorants, en sorte que vous vous retrouvez au point de départ comme des jeunes, ne sachant rien de ce qui s'est passé dans les temps anciens, soit ici, soit chez vous. Car ces généalogies de tes compatriotes que tu récitais tout à l'heure, Solon, ne diffèrent pas beaucoup de contes de nourrices. Tout d'abord vous ne vous souvenez que d'un seul déluge terrestre, alors qu'il y en a eu beaucoup auparavant »

 

Le Critias brosse un portrait détaillé de la civilisation atlante. Pour le philosophe grec,

l'Atlantide était sous l'égide de Poséidon. Pour protéger sa mortelle épouse Clito, le Dieu de la mer créa dans le coeur de l'île la cité nommée Atlantis entourée d'anneaux de mer et de terre. Un grand canal de 9250m reliait l'anneau intérieur (la cité) à la mer. La ville s'étendait de forme circulaire. La civilisation atlante telle qu'elle est décrite dans les dialogues de Platon possédait d'innombrables richesses notamment de nombreux métaux. Par ailleurs, la terre était fertile et alimentait insatiablement la population Atlante :

« Avec toutes ces richesses qu'ils tiraient de la terre, les habitants construisaient les temples, les palais des rois, les ports, les chantiers maritimes, et ils embellirent tout le reste du pays. »

 

Le critias

 

 

 

 

 

 

Le texte de Platon est-il une projection tissée d'utopies, un rêve éveillé destiné à vanter la grandeur de l'Empire athénien alors en décadence ? Dans toute part de création il y a aussi la réalité multiforme et plurielle qui ne demande qu'à être engagée.

« L'affaire de l'Atlantide doit être considérée comme essentiellement historique, assortie de quelques distorsions et exagérations ou comme une fiction inéluctablement nécessaire, fondée tout de même, dans une certaine mesure, comme toutes les autres du même genre, sur des faits du présent ou du passé. »

Certains chercheurs soviétiques analysent avec beaucoup d'intérêt les récits de Platon.

D'ailleurs un papyrus égyptien conservé à Léningrad confirmerait encore une fois les textes de ce grand philosophe8.

L'Utopie platonicienne a quand même fait couler beaucoup d'encre. Pour beaucoup, Platon s'est servi de l'Atlantide pour flatter en quelque sorte l'orgueil national. En inventant une guerre gréco-Atlante et en faisant bien entendu triompher les grecs Platon rachetait pour ainsi dire la dignité nationale en manque de reconnaissance. Par ailleurs, la lente agonie crépusculaire d'une civilisation en mal de sagesse et aux agissements technologiques pervertis -c'est semble t-il « l'Hubris »des Atlantes qui les a mené à leur perte- n'est pas sans nous rappeler le mythe de Prométée, puni par le Père des Dieux pour avoir volé le feu du ciel. Et ce sont en partie les aspects moralisateurs de ce destin punitif s'abattant sur la folie des hommes qui sont parfois à l'origine du rejet rationaliste du mythe platonicien.

B. Vision Caycéenne et incarnations Atlantes

Le célèbre médium nord américain Edgar Cayce a donné de nombreuses indications

concernant cette civilisation oubliée. Selon certains analystes, il aurait puisé ses connaissances dans les mémoires akashiques9 . Dans ses relations médiumniques Cayce souligne la responsabilité des hommes dans les bouleversements planétaires. :

« Les tendances dans les coeurs et les âmes des hommes sont telles qu'elles provoquent ces bouleversements géologiques. Car, comme nous l'avons si souvent indiqué ici, ce n'est pas le monde, la Terre, les conditions géologiques, ni même les influences planétaires [...] qui régissent l'Homme. C'est plutôt l'Homme qui, par sa soumission aux lois divines, est capable

de mettre de l'ordre dans le chaos; ou bien, s'il méprise les lois divines, s'il refuse de s'y associer, il peut créer le chaos et ouvrir la porte aux forces qui détruiront son milieu de vie.

Car Il a dit: «Les Cieux et la Terre peuvent passer; mes paroles ne passeront pas!» On considère souvent cette phrase comme de la poésie. Mais si vous appliquez ces mots aux affaires mondiales, et à l'Univers actuel, qu'est-ce qui finalement tient tout? Qu'est-ce qui maintient les fondations de la Terre? Le Verbe de Dieu.

 

En 1940, Cayce avait déclaré qu'une partie de l'Atlantique referait surface en 1968 ou en 1969 au large des îles Bimini. Il s'avéra qu'en 1968 on a découvert des formations rocheuses, des mégalithes édifiés par une ancienne civilisation refaisant surface dans les eaux de cet archipel situé près de la Floride. : « Les preuves de cette civilisation perdue seront trouvées dans les Pyrénées et au Maroc, au Honduras Britannique, au Yucatan et en Amérique (…) si une étude géologique était faite dans quelques-uns de ces endroits principalement, et notamment, à Bimini et à proximité du Golfe Stream, des découvertes pourraient être déterminantes. » lecture 364-3 « Dans trois endroits seront retrouvées les archives atlantes. Les archives (géo)physiques n'apparaîtront que lors de la désintégration des oeuvres dues à l'égoïsme du monde car ces archives ont été réunies dans l'optique des changements mondiaux. L'avenir est bon à NORFOLK et VIRGINIA BEACH …La Grande Pyramide (Kheops) date de 10 500 avant Jésus Christ, juste avant le déluge. Elle contient le reste des enseignements.»

Par ailleurs, Cayce fut le premier à évoquer la puissance de la pierre Tuaoi fer de lance de la technologie avancée des Atlantes :

« Elle avait la forme d'une figure à 6 côtés, dans laquelle la lumière apparaissait comme moyen de communication entre l'infini et le fini, ou le moyen qui permettait les communications avec les forces extérieures. Ce qui a permis plus tard à l'énergie qui en rayonnait, comme du centre d'où provenait les activités radiantes, de diriger les différentes

formes de transitions ou de voyages pendant ces périodes d'activité des Atlantes (…) Elle ressemblait à un cristal, quoique sous une forme très différente de celle utilisée alors. Ne les confondez pas, car il y avait entre elles de nombreuses générations de différences. C'était à l'époque où l'on dirigeait les avions, ou les moyens de transports, car à cette époque on voyageait indifféremment dans les airs, ou sur l'eau, ou sous l'eau. Déjà la force par laquelle ces appareils étaient dirigés se trouvait dans cette centrale électrique d'énergie, ou pierre Tuaoi ; qui était comme le rayon sur lequel elle agissait. »

Dans une de ses lectures le médium endormi nous livre de nombreuses précisions sur la localisation de la grande bibliothèque perdue de l'Atlantide :

 

« En terre égyptienne, dans un lieu où l'on pénètre à partir de la patte droite du Sphinx, se trouve la salle des archives de l'humanité.

Ces archives vont depuis le commencement des temps où l'esprit prit forme et commença à descendre sur cette Terre. Elles comportent l'histoire de toutes les nations de la Terre, l'histoire dela destruction finale de l'Atlantide, et l'histoire de la construction de la Pyramide de l'Initiation, avec les noms des individus, des lieux, avec les dates et les temps où ces archives seront à nouveau ouvertes… Car, avant le

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

changement d'époque, ("avant le changement d'époque" = avant le passage à l'Ère du Verseau) la vérité sera révélée. On retrouvera ces documents. Mais on ne pourra pénétrer dans les salles souterraines, en partant de la patte droite du Sphinx, que lorsque les temps seront révolus et que les changements auront été accomplis dans cette phase de l'existence humaine. » lecture 2072-10 » Edgar Cayce – 1933

Nous retrouvons cette allusion médiumnique à travers le propos du maître Tibétain Tashi Lhunpo en 1966 « … Gardiens des legs culturels des civilisations disparues, nous ouvrirons les caveaux secrets de l'Égypte et démontrerons l'existence, en un lointain passé, d'une science et d'une technologie hautement avancées. Sur leurs écrans de télévision, les spectateurs pourront contempler les brillantes réalisations de l'antique Atlantide. Ils comprendront qu'ils risquent de subir la même destruction. Dès que le Sphinx de Gizeh aura lancé son avertissement, soyez prêts à de grandes choses ! … »

C. Vision de l'Esprit via le médium PJ Oune

Eschatologie et création, l'éternel retour de l'Amour

Nombreuses sont les allusions au mythe de l'Atlantide qui apparaissent parfois en filigrane à

travers les écrits de PJ Oune. Je ne retiendrai ici que quelques citations chacun pourra relire les textes fondateurs pour y puiser ce qui fera le mieux écho en son âme. Pour nous en tenir à la vision eschatologique des civilisations disparues, dès le début de Mémoire Spirite l'Esprit nous rappelle : « Quand Dieu aura détruit ce monde imparfait, comme il le fait régulièrement depuis la nuit des temps, afin de racheter les hommes et de recommencer un cycle d'évolution* pour la force et les âmes qui la composent, vous ne serez pas morts. Vous vivrez en Dieu, ailleurs où ? »

Il serait peut-être ici intéressant d'établir un système de vases communicants entre les différents écrits spirites. Ainsi, et ce sera à vous d'en juger, Graham Hancock13 nous signale que nous appartenons à la cinquième civilisation* :» 14

Les Mayas précisent que la cinquième civilisation a commencé le 13- 08 -3114 av JC et se terminera le 23-12- 2012. Hé Hé Hé, allez une petite récré ça ne vous rappelle rien ? ! Si c'est pas sympa de relancer le débat que certains sur ce site affectionnent tant.

Quant à Jane Roberts, dans son livre l'Enseignement de Seth, elle semble corroborer les dires du sus-cité, confirmant que notre civilisation est bien la 5ème. Celle qui précédait était, devinez : l'Atlantide !! Et elle en situe trois autres avant. Par ailleurs, il semblerait selon elle toujours, que la planète était dans une position différente : les pôles étaient inversés.

Et enfin, Anne Givaudan dans Voyage à Shambhalla nous précise également : « Nous sommes au (5ème cycle d'humanité sur 7 ( nous en sommes à la fin du 5ème) »

Quant à Cayce, il pensait que le monde actuel était le 4ème et que son sort dépendrait de la conduite bonne ou mauvaise de ses habitants en conformité avec les lois divines16. C'est ce que nous rappelle l'Esprit via PJ Oune : « Rien n'est irréversible. La décision de Dieu peut se modifier et évoluer. Nous en sommes certains. »

Encore une fois chacun sera libre de se faire son propre avis sur la question…

Mais poursuivons donc la lecture de Mémoire Spirite :

« Il faut à nouveau nous réunir pour empêcher votre monde de disparaitre, car la force dans cette partie de l'univers s'épuise de trop d'égoïsme et de haine…un quart de siècle ne sera pas de trop pour empêcher la solution radicale que Dieu devra employer, afin de ne pas laisser gagner en cet endroit le côté obscur »Ibidem p 18

« Afin de garder l'équilibre des mondes, Dieu devra, si rien ne change, étouffer ce cri et à son grand désespoir, faire recommencer un cycle vierge à cette partie de l'univers. …»

Tout serait il donc un éternel retour ? Nietsche avait-il donc raison en voyant un éternel retour du même ? Là encore les débats sont ouverts et les ponts à bâtir...sans oublier l'enseignement de l'Esprit: « qu'un cycle s'achève, un autre commence. L'amour est la clé, il n'y a que ça pour vous faire comprendre ce qu'est le vrai sens de la vie »

D'autre part, dans MS l'Esprit confirme l'existence de l'Arche de Noé17 or nombreuses furent les expéditions qui ont été menées par des équipes d'archéologues pour retrouver des vestiges de l'Arche de Noé sur le mont Ararat. Voici ce qu'écrivait à leur propos Werner Keller en 1955:

"L'idée avait été lancée à la suite d'un récit attribué à un berger. En effet, au pied du mont Ararat, se trouve le petit village arménien de Baysit, dont les habitants se transmettent depuis des générations la curieuse aventure d'un pâtre de montagne qui déclarait avoir vu un jour sur l'Ararat un grand bateau de bois. Le compte-rendu d'une expédition turque datant de 1833 semblait confirmer la chose, puisqu'il fait état d'une proue de navire émergeant durant la saison d'été du glacier situé au sud du mont. Ensuite, un digne homme d'Eglise, le docteur Nourri, archidiacre de Jérusalem et de Babylone, prétendit avoir vu une épave au cours d'un voyage d'exploration qu'il entreprit aux sources de l'Euphrate en 1892. Au cours de la première guerre mondiale, un officier d'aviation russe appelé Roskowitzki rapporta avoir aperçu, sur le versant méridional de l'Ararat, "les restes d'une importante épave". Malgré les hostilités en cours, le tsar Nicolas II envoya immédiatement un groupe de reconnaissance sur les lieux. Ses membres auraient non seulement vu, mais aussi photographié le bateau.

Malheureusement, tout le matériel rapporté par les explorateurs fut perdu lors de la

révolution d'Octobre. Pendant la seconde guerre mondiale, des observations furent

également faites par un pilote soviétique et quatre aviateurs américains."

Par ailleurs, dans Entretien avec l'Esprit, il est à maintes reprises mentionné en filigrane cette allusion à l'éternel retour : « Ce qui fut jadis obligatoire et le sera de nouveau si nécessaire, est l'acte de tout effacer et de remettre à l'ouvrage d'autres peuples quand le temps sera venu ou la balance et l'équilibre ne permettront plus que certains trouvent en ce lieu nature à se construire et à construire les mondes qui seront issus de leurs esprits. »

« Il est temps de mener l'action de préparer la fuite au cas ou, et d'essayer de ralentir le cataclysme en train de naître. Il est temps de faire la révolution ou de périr(…) l'homme doit acquérir la sagesse en même temps que la technologie ou il ne restera plus de vie sur cette terre avant longtemps. »

C'est à cette alliance entre la foi et la science à laquelle nous invite l'Esprit. Comme Rabelais le rappelait en son temps « Science sans conscience n'est que ruine de l'homme. ». C'est par ses actions que l'homme sera ou ne sera pas ce qu'il est. Travailler c'est retrouver la mémoire et éviter peut-être de commettre les mêmes erreurs. « la foi et la science doivent s'allier pour préparer le départ de l'esprit vers un autre destin. »

 

Entretient avec l'esprit

 

Préparer le départ… retrouver la mémoire et exploiter enfin les possibilités infinies de

l'homme afin qu'il puisse être libre en l'Esprit. Il est tant de voyages que notre conscience humaine ne peut en saisir les nombreux envols…

« Il y eu d'autres générations d'humanoïdes sur cette planète avant celle-ci dont vous êtes issus. » « il est encore possible de sauver ce monde. Tout est transportable et 'dématérialisable' mais seule l'étude de la nature complexe de l'esprit permettra l'éternité de la souche première.

Il est urgent de comprendre la formule permettant le calcul du nombre d'univers et de

chercher de l'aide ailleurs Les mathématiques doivent entrer la lettre sacrée dans

l'équation des nombres »

Je vous renvoie à la troisième partie de cette réflexion pour relier par vous-mêmes les différents échos qui se feront en vous.

« Le culte d'avant le commencement est encore vivant et ses archives peuvent être

retrouvées. »

Là encore des ponts intéressants peuvent être établis entre Oune et Cayce…

« on peut venir d'une autre dimension tout en venant de quelques centimètres. La notion paraît folle mais le temps nous montrera le contraire. »

 

Dans le fascicule Entretien avec l'Esprit qui nous a été si fraternellement offert lors de notre réunion de juin 2005 nous pouvons trouver des précisions très intéressantes sur la cité engloutie. Mû18 serait la variante pacifique de l'Atlantide en somme une âme jumelle au croisement des océans. Je vous laisse donc en compagnie des extraits car ils parleront mieux

que je ne pourrai les commenter : « Afin de permettre que l'âme de Mû qu'il avait crée se régénère, « U » dû changer les supports et franchir le pas d'une destruction de tout ce continent afin de préparer pour les âmes composant l'oeuvre, une nouvelle terre de recherche et de production … »

« Il y eut donc un premier continent, sorte de génération spontan

 


17/10/2009
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